Imagerie génito-urinaire et prostatique

Les Dr Abihanna et Ronze sont spécialisés en imagerie génito-urinaire et prostatique.

Imagerie urinaire

La plupart des radiologues du groupe effectuent les examens permettant une exploration de l’appareil urinaire :

  • Echographie rénale / de l’appareil urinaire (reins, vessie, uretères) et de la prostate : pour les pathologies aiguës (insuffisance rénale aiguë, colique néphrétique, pyélonéphrite…) ou plus chroniques (insuffisance rénale chronique, hématurie, suivi et caractérisation de lésions ou kystes rénaux.
  • Uroscanner : Le scanner des voies urinaires, appelé uroscanner, peut être réalisé sans injection de produit de contraste (bilan de colique néphrétique, suivi de lithiases…) ou avec injection pour la caractérisation d’une lésion rénale, le bilan d’une hématurie…).
  • IRM rénale : Dans certains cas, le scanner ne suffit pas à faire le diagnostic d’une lésion rénale et une IRM rénale peut être réalisée en complément avec injection de Gadolinium.
  • Le scanner et l’IRM sont utiles pour l’analyse des nodules surrénaliens afin de juger de leur bénignité.
  • L’échographie du scrotum et des testicules joue un rôle dans le bilan d’une masse palpée, des traumatismes scrotaux, des infections et le dépistage des varicocèles en cas de troubles de la fertilité par exemple.

Imagerie prostatique

  • L’imagerie de la prostate est un domaine que les Drs Abihanna et Ronze ont particulièrement développé en partenariat avec les urologues de la clinique notamment.
  • L’échographie de la prostate : Permet une évaluation fine du volume de la prostate et du retentissement de l’hypertrophie bénigne.
  • l’IRM de prostate : C’est l’examen de choix car c’est la technique de référence pour repérer des lésions suspectes en cas d’anomalie palpée ou d’élévation du PSA. Elle permet dans certains cas de repérer de petites lésions ou des zones suspectes, et les images de l’IRM peuvent ensuite être utilisées pour cibler très précisément les biopsies en fusionnant les images en temps réel avec l’échographie (système de suivi des mouvements magnétiques dit « GPS ») pour augmenter la précision du ciblage et donc le taux de réponse des biopsies. Cette technique de fusion n’est utilisée que dans certains centres mais réalisée quasi-systématiquement dans le service de radiologie de la clinique Charcot car nous pensons qu’elle sera amenée dans les prochaines années à devenir la norme.

Les varicocèles diagnostiquées en échographie peuvent dans certains cas, être traitées par embolisation de varicocèle, en ambulatoire, par voie endovasculaire avec simplement un abord millimétrique au pli de l’aine.

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